Je vous invite à participer à ce groupe de paroles masculin. Il s’agit de se confronter à ces interrogations :
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La mort, cette perspective
incroyable, lorsqu’on sent palpiter notre chair, que le philosophe Heidegger a
exprimé par la formule l’être là pour la mort.
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La liberté : je
suis, ou je dois, ou je veux devenir, l’auteur de ma propre vie.
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La solitude :
je suis fondamentalement seul devant la vie et devant la mort.
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Le sens de ma vie :
c’est inverser la formule de Heidegger en l’être là pour la vie.
La participation à cet atelier donne du poids à l' existence.
Et donne accès en même temps à une joie authentique.
La condition de mortel est le point aveugle de la vie
sociale aujourd’hui, présente surtout par les faits divers. C’est une question
de civilisation. En occident dans le haut M A, le cimetière entourait
l’église : on passait entre les tombes pour y entrer. Au 19ème
siècle les cimetières sont rejetés à la périphérie des agglomérations et
entourés de hauts murs. Comme la mort est présente dans notre quotidien surtout
par les faits divers, elle tend à s’inscrire dans notre inconscient comme un
fait accidentel
Il s'agit en même temps de satisfaire son besoin de saint et de sacré, quelle que soit sa religion, sa spiritualité, ou son absence de religion.
Affronter la mort ne génère pas l’angoisse, bien au
contraire. La joie lui est intrinsèquement liée.
Chaque séance commence par une méditation en groupe sur une
lettre hébraïque.
Les lettres de l’alphabet hébreu diffusent une puissante
énergie. Contrairement aux lettres des alphabets plus récents, chaque lettre
hébraïque a une portée symbolique d’une grande richesse qui touche aussi à
l’existentiel.
Je vous convie donc à une expérience rare et forte : Formuler,
confronter ses angoisses et ses peurs, sa sérénité et sa joie, avec
celles des autres. En devenir plus conscient, plus fort et plus déterminé.
La participation aux frais est de 90 euros, pour ce format
nouveau.
Il est composé de cinq séances de deux heures, une par semaine, à la même heure.
En raison du nombre de personnes intéressées une alternative est proposée le dimanche 2 février à 10h.
Inscrivez-vous.
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